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Supporting rural communities at risk of disease transmission Soutenir les communautés rurales à risq


This has been done with support from IPAF/SAMBURU WOMEN TRUST

The accepted wisdom is that the current pandemic started in China, with the Covid-19 virus ‘jumping’ from a wild species to humans (This is scientifically known as ‘zoonotic transmission’, or collectively as ‘zoonoses’). These zoonoses can originate from virtually anywhere, and there is evidence to suggest that land use changes such as the removal of forests can increase the chances of transmission.

The people living in the forests of central Africa are very much at the forefront of the risk from zoonoses. Diseases such as Ebola and HIV are known to have originated from the forests of West Africa, in areas where eating wild-caught meat is often the norm. Animals such as pangolins (which are thought to have played a role in the transmission of Covid-19) are hunted and eaten regularly, even to the extent that all seven species of pangolins are now under the threat of extinction.

Supporting rural populations to minimise the chances of disease transmission from zoonoses or pandemic such as COVID-19 is a critical element of our conservation through sustainable development strategy. In Cameroon, our long-term partner and associate organisation, Fondation Camerounaise de la Terre Vivante (FCTV) is committed to helping local, often very poor people to be able to ‘make the right choice’ in terms of their livelihood development and risk to themselves from zoonoses. That’s why FCTV, Landscape Conservation and our other partners such as IPAF/SAMBURU Women Trust are supporting changes from unsustainable, high-risk of disease transmission behaviours such as the illegal killing and eating animals such as gorillas, chimpanzees and pangolins, to domestic livestock and crops (from Baka Wild yam to cultivated yam by Baka) introducing lower risk food preparation techniques.

The messages about disease transmission are not going unnoticed. One of the consequences of the Covid-19 pandemic has been that even historically remote populations of humans are understanding that new behaviour has become the norm, if they are to minimise transmission and fatalities.

Last week, a team from FCTV travelled to communities living around the Dja Faunal Reserve, in the East region of Cameroon, to deliver nose-masks, tape-buckets and soaps to help address Covid-19, and discussed the issue of zoonotic diseases with local people. This activity was made possible through the financial support of IPAF-SAMBURU WOMEN TRUST. The communications are all part of the strategy to support change from unsustainable, high risk behaviours to sustainable, safe ways of living and developing.

*Cette activité a été rendue possible avec le soutien de IPAF/SAMBURU WOMEN TRUST*

Il est communément admis que la pandémie actuelle a débutée en Chine, avec le virus Covid-19 allant d'une espèce sauvage vers l'homme (ce phénomène est connu scientifiquement sous le nom de «transmission zoonotique» ou communément sous le nom de «zoonoses»). Ces zoonoses peuvent provenir de pratiquement n'importe où, et il existe des preuves suggérant que des changements d'utilisation des terres tels que la destruction des forêts peuvent augmenter les chances de transmission.

Les populations vivant dans les forêts d'Afrique centrale sont au premier rang du risque de zoonoses. Des maladies comme Ebola et le VIH sont connues comme étant originaires des forêts d'Afrique de l'Ouest, dans des régions où la consommation de viande sauvage est souvent la norme. Des animaux tels que les pangolins (qui auraient joué un rôle dans la transmission du Covid-19) sont chassés et consommés régulièrement, au point où les sept espèces de pangolins sont maintenant menacées d'extinction.

Aider les populations rurales à minimiser les risques de transmission de maladies par les zoonoses ou pandémies comme la COVID-19 est un élément essentiel de notre conservation grâce à une stratégie de développement durable. Au Cameroun, notre partenaire à long terme et organisation associée, la Fondation Camerounaise de la Terre Vivante (FCTV) s'est engagée à aider les populations locales, souvent très pauvres, à pouvoir `` faire le bon choix '' en termes de développement de leurs moyens de subsistance et de risque des zoonoses pour eux-mêmes. C'est pourquoi la FCTV, Landscape Conservation et nos autres partenaires comme IPAF/Samburu Women Trust soutiennent les changements de comportements non durables à haut risque de transmission de maladies tels que l'abattage illégal et la consommation d'animaux tels que les gorilles, les chimpanzés et les pangolins, à l’élevage d’animaux domestiques et plantes (de l’igname sauvage Baka à l’igname en champ par les Baka) et l’introduction de techniques de préparation des aliments à moindre risque.

Les messages sur la transmission des maladies ne passent pas inaperçus. L'une des conséquences de la pandémie de Covid-19 a été que même des populations humaines historiquement éloignées comprennent déjà que les nouveaux comportements sont devenus la norme, afin de minimiser la transmission et les décès.

La semaine dernière, une équipe de FCTV s'est rendue dans les communautés vivant autour de la réserve de faune du Dja, dans la région de l'Est du Cameroun, pour distribuer des cache-nez, des seaux-robinet et des savons pour aider à lutter contre le Covid-19, et a discuté de la question des maladies zoonotiques avec les populations locales. la communication fait partie intégrante de la stratégie visant à soutenir les changements de comportements non durables à risque élevé vers des modes de vie et de développement durables et sûrs.

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